Centre d’intervention pédagogique en contexte de diversité

Plus de 80 % des élèves du Centre de services scolaire Marguerite-Bourgeoys (CSSMB) inscrits en formation générale des jeunes proviennent de l’immigration de première ou de deuxième génération. De même, plus de 60 % des élèves ont pour langue maternelle une langue autre que le français. Le personnel scolaire se distingue aussi par sa diversité ethnoculturelle et linguistique.

Cette réalité suscite certains enjeux d’intégration, de réussite et de vivre ensemble. C’est ce qui a mené à la création du Centre d’intervention pédagogique en contexte de diversité (CIPCD) en 2012, une initiative unique qui contribue à outiller les membres du personnel enseignant et l’ensemble des intervenants à l’œuvre dans les établissements et services.

Le travail du CIPCD s’est d’abord matérialisé dans l’orientation « Vivre ensemble en français », du Plan stratégique 2014-2018. Il s’est poursuivi avec l’orientation « Assurer un milieu de vie inclusif et accueillant, ouvert sur le monde et l’avenir », du Plan 2018-2023. Cette initiative novatrice fait du CSSMB le seul centre de services scolaire à posséder son propre centre de recherche affilié à différents organismes partenaires :

  • la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal ;
  • la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Montréal ;
  • le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Nord-de-l’Île-de-Montréal ;
  • le CIUSSS du Centre-Ouest-de-l’Île-de-Montréal.

Le CIPCD, un centre de recherche appliquée, comprend six groupes de travail. Leurs activités s’orientent autour d’enjeux suscités par la diversité ethnoculturelle et linguistique en contexte scolaire. Le Centre poursuit trois mandats : la recherche, le transfert de connaissances et la formation. Deux coresponsables sont affectés à chaque groupe de travail : une chercheuse ou un chercheur universitaire et un membre du personnel du CSSMB.

Des questions sur le CIPCD ?
Communiquer avec Justine Gosselin-Gagné, chargée de projet universitaire

Protection régional de l'élève

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Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

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