Célébration du français et de la diversité

La beauté, la diversité et la vivacité de la francophonie ont été soulignées à l’école Félix-Leclerc dans le cadre de la Semaine nationale de la francophonie et de la Semaine d’actions contre le racisme présentées lors de la troisième semaine du mois de mars. Ces semaines coïncident avec la Journée mondiale de la poésie et la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination, deux journées thématiques de l’ONU présentées le 21 mars. Bref, il y avait beaucoup à célébrer.

Le temps fort des activités est certainement le dévoilement de la courtepointe Ensemble dans la langue qui nous unit, composée de poèmes et de dessins sur le thème de l’inclusion. L’œuvre est le fruit d’une collaboration entre les enseignantes et enseignants de français Charles-Daly Faustin et Haciba Zribi, de la spécialiste en arts Doina Condrache et de l’animatrice de vie spirituelle et d’engagement communautaire (AVSEC) Marie-Josée Gagné. Sur une bonne dizaine de mètres, on y lit des messages de paix et d’harmonie dont plusieurs très touchants.

La semaine a par ailleurs été présentée sous le signe de la diffusion de musique francophone, de la lecture de poèmes, de même que par la présentation de jeux de lettres et de mots. L’AVSEC note que des élèves avec trouble du spectre de l’autisme (TSA) se sont démarqués en constituant le mot le plus long composé à partir de trois lettres pigées au hasard. « Cette semaine aura permis de tisser des liens entre les élèves. Les élèves avec TSA, ceux des classes d’accueil pour les nouveaux arrivants et ceux des classes ressources pour les élèves avec difficultés se sont mêlés aux élèves du secteur général, des programmes de communication et d’excellence », explique Mme Gagné, qui se réjouit de voir ainsi se multiplier les occasions de décloisonnement.

Protection régional de l'élève

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :


Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

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