Des étudiantes et étudiants du cégep parrainent des élèves

L’école primaire Laurentide (Saint-Laurent) est fière d’avoir participé toute l’année au programme de l’École des grands (ÉDG) avec le Cégep de Saint-Laurent. Ce partenariat permet à une trentaine de collégiennes et collégiens bénévoles, issues de divers programmes, d’accompagner près de soixante élèves de la 1re à la 6e année pendant 20 samedis, dans les locaux du cégep. Après un moment de partage autour du déjeuner, les mentors offrent un soutien personnalisé aux élèves avec leurs devoirs et animent des ateliers scientifiques et informatiques au sein des classes et laboratoires du cégep.

« C’est impressionnant de voir une telle mobilisation ! L’implication de l’équipe de l’école Laurentide, des parents, des mentors, de la Fondation W (un organisme ayant pour mission de favoriser l’égalité des chances), du personnel du cégep et des partenaires est une véritable force pour ce projet », souligne Isabelle Tardif, conseillère pédagogique au cégep de Saint-Laurent.

Pour couronner ces efforts, une cérémonie de remise de diplômes a eu lieu à la salle Émile-Legault, honorant l’engagement des élèves et des mentors. Applaudis par leurs proches et les partenaires, ils ont reçu deux diplômes honorifiques : l’un de l’ÉDG et un de participation, remis avec dynamisme par la députée provinciale de Saint-Laurent, Marwah Rizqy.

Grâce à cette belle synergie, le projet continue de s’épanouir et se poursuivra l’an prochain, illustrant parfaitement l’importance du mentorat et du soutien scolaire au sein de la communauté.

Maude Gagnon Toupin
Directrice adjointe de l’école Laurentide

Protection régional de l'élève

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :


Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

« * » indique les champs nécessaires

Nous aimerions connaître votre opinion.

Sur 10, quelle note donnez-vous à la qualité du site ?*
Pour toutes questions nécessitant une réponse, nous vous invitons à communiquer avec nous en précisant votre demande.
Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.