En rose et pour tous

Le 26 février dernier, à l’école secondaire Félix-Leclerc (Pointe-Claire), le conseil des élèves, accompagné par Marie-Josée Gagné, animatrice de développement personnel et d’engagement communautaire, soulignait la journée du chandail rose, laquelle avait pour objectif de sensibiliser les élèves aux conséquences de l’intimidation et de développer leur sens de l’empathie.

Une série d’affiches présentait des données et statistiques sur le phénomène et les facteurs de risques ; sur d’autres on lisait des témoignages anonymes de victimes ou d’anciens intimidateurs ainsi que les attitudes à adopter si on est victime ou témoin d’intimidation.

Enfin, toutes et tous avaient leurs mots à dire ! Au mur, on pouvait lire L’intimidation est tel un tatouage, ça fait mal, ça laisse des marques profondes… Les élèves étaient invités à réfléchir à la question puis à répondre à la question : Pour réparer un geste d’intimidation, qu’est-ce qui pourrait être fait, selon toi ?  Les réponses étaient inscrites sur deux bras et une poignée de main illustrés au mur ; de nombreux mots d’encouragement et de soutien s’y retrouvent ainsi «tatoués», en guise de soutien aux victimes.

Le mot d’ordre est tout simple : dénoncer.

Les élèves avaient aussi l’occasion de visionner la vidéo Projet intimidation, réalisée par les élèves de l’école secondaire Saint-Laurent.

«L’intimidation, ce n’est pas seulement les menaces et les coups. Les blagues, les taquineries et les rumeurs peuvent elles aussi avoir de lourdes conséquences sur le cheminement d’un élève, d’où l’importance d’aborder la question», conclut Mme Gagné.

Protection régional de l'élève

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :


Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

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