La bande dessinée comme vecteur d’apprentissage

Les élèves de Rajae Smaili, enseignante de 4e année à l’école primaire Saint-Rémi (Beaconsfield) ont eu la chance de participer à un projet de réalisation de bandes dessinées. Regroupés par équipes de quatre ou cinq, ils ont créé des livres de huit à dix pages. Certains groupes ont choisi l’humour, d’autres l’aventure, le fantastique ou encore la science-fiction. «Nous avons commencé par l’écriture d’un récit structuré en cinq temps, afin de bien travailler la structure narrative. Par la suite, chaque groupe a transformé son récit en bande dessinée», explique l’enseignante. Elle précise qu’il n’y avait pas de rôles fixes et que chaque élève a participé à l’écriture et au dessin. L’activité permet de développer la créativité, de même que les compétences en écriture et lecture. «Ce projet artistique et pédagogique met en lumière le talent, l’imagination et l’engagement de nos auteurs en herbe», conclut Mme Smaili.

Protection régional de l'élève

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :


Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

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