La secrétaire générale d’Amnistie internationale rencontre les élèves

Cette année, Agnès Callamard, secrétaire générale de l’organisation non gouvernementale Amnistie internationale, a rencontré Joseph Biden, Emmanuel Macron et surtout Youssra Aissaoui, Maria-Alycia Saghi, Xiaoyi Yuan, Parnia Poor Rezaei et Mia Rjeily, bénévoles de cœur et d’action du comité des droits des femmes de l’école secondaire Mont-Royal. Au diapason des valeurs, point de diplomatie protocolaire.

Amnistie internationale est une organisation forte d’environ 10 millions de membres à travers le monde. Les cinq bénévoles de l’école Mont-Royal, quant à elles et eux, concrétisent le mouvement solidaire entre le cœur et l’action, sans quoi les grands combats pour la liberté d’expression ne resteraient que des mots bien communiqués. À cet égard, invitées dans les bureaux de la section canadienne francophone, à Montréal, pour un 5 à 7 des grands donateurs, les cinq adolescentes ont probablement raflé, cette année encore, tous les prix de la cohérence et de la générosité : organisation du congrès annuel des jeunes avec près de 400 participantes et participants (4 novembre) et organisation du marathon d’écriture Écrire, ça libère (2 décembre), avec environ 1500 cartes dédiées à soutenir avec compassion et force les laissés pour compte victimes des dictatures du monde entier. 

À n’en pas douter, la relève pour un monde plus humain et plus équitable est empreinte de conviction et de talents et elle est déjà debout ! Bravo à toutes les bénévoles et à tous les bénévoles de l’école secondaire Mont-Royal.

Franck Potwora

Animateur de vie spirituelle et d’engagement communautaire

École secondaire Mont-Royal et Académie Saint-Clément

Protection régional de l'élève

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :


Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

« * » indique les champs nécessaires

Nous aimerions connaître votre opinion.

Sur 10, quelle note donnez-vous à la qualité du site ?*
Pour toutes questions nécessitant une réponse, nous vous invitons à communiquer avec nous en précisant votre demande.
Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.