Pierre-Laporte : La grande séduction musicale

Le 23 février, les élèves du programme Arts-études de musique de l’école Pierre-Laporte ont offert deux concerts auxquels ont été conviés 800 élèves de 4e année provenant de dix écoles primaires du CSSMB. L’activité a été animée avec maestria par l’enseignante des cordes, Clémentine Chatel, ainsi que par l’enseignant de l’harmonie, Sylvain Houle. Le dynamique tandem a l’habitude de discuter avec les élèves qui leur ont accordé toute leur attention. Dix autobus ont été requis pour amener les jeunes mélomanes à l’école secondaire. 

L’activité s’inscrit dans le cadre d’une stratégie de séduction des élèves du primaire. L’automne dernier, Frédéric Demers, ambassadeur du programme Arts-études musique de l’École secondaire Pierre-Laporte, s’est rendu dans une douzaine d’écoles primaires afin d’y parler du programme. En tout, 42 groupes d’élèves de 4e année ont assisté à une présentation sur les instruments de musique offerts à Pierre-Laporte. De plus, lors de cette présentation, les élèves intéressés ont été invités à une journée d’exploration musicale qui s’est tenue le 14 janvier 2023. «L’objectif de ces démarches est de faire découvrir des instruments très souvent inaccessibles au primaire. Qui sait, peut-être nos jeunes de la CSSMB auront-ils le désir de venir explorer notre programme d’Arts-études musique» déclare Frédéric Demers

Les efforts portent leurs fruits ; l’école accueille actuellement 118 élèves, encadrés par une équipe de 17 musiciennes professionnelles et musiciens professionnels. 

Photo : L’harmonie des élèves de 3e, 4e et 5e secondaire, dirigée par l’enseignant Sylvain Houle.
Photo : L’orchestre des cordes de 3e, 4e et 5e secondaire, dirigé par l’enseignante Clémentine Chatel.

Protecteur régional de l’élève

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :

Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

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