Stimuler la littératie, dès le préscolaire

Depuis le mois de janvier, une vingtaine de parents de l’école primaire Enfant-Soleil (Saint-Laurent) se réunissent une demi-journée par semaine pour confectionner des sacs d’histoire. Les sacs sont créés à partir de l’album jeunesse Si j’avais su, dont les personnages sont des animaux de la forêt québécoise. Le livre inclut des liens virtuels, lesquels permettent aux familles allophones d’écouter le récit dans leur langue maternelle. Dans chacun des sacs se trouve également un jeu d’association, un casse-tête, un album de coloriage et une marionnette. 

Les activités ont toutes été créées par les parents bénévoles. L’enseignante-ressource au préscolaire, Nathalie De Broux, explique que ce projet offre aux parents l’occasion de découvrir l’établissement et de renforcer leur sentiment d’appartenance à l’école. Le climat est détendu, ils ne sont pas là pour discuter de ce qui va bien ou mal avec leur gamin. Comme la plupart sont issus de l’immigration, l’activité leur permet de densifier leur réseau social, tout en établissant un sentiment de confiance avec le milieu scolaire.

Le 16 mai, parents, enfants, artisanes et artisans du projet ont été conviés à une grande fête pour le lancement des sacs d’histoires. Les élèves des sept classes de préscolaire 4 ans peuvent maintenant emprunter les sacs pendant deux jours pour vivre un moment de plaisir en famille autour d’un livre. Après s’être reposées pendant l’été, les trousses reprendront leurs pérégrinations à l’automne, avec les nouveaux élèves.

Ce projet est rendu possible grâce à l’organisme Une école montréalaise pour tous, dont le mandat est d’intervenir dans les écoles primaires en milieu défavorisé, afin de favoriser l’équité et la justice sociale.

Protecteur régional de l’élève

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :


Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

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