Une chaise des générations au conseil d’arrondissement de Saint-Laurent

Michèle Meunier, enseignante en deuxième année à l’école primaire Édouard-Laurin (Saint-Laurent) a invité les élèves à exprimer leur opinion en posant un point de couleur sur une chaise récupérée. Les jeunes de toute l’école devaient ainsi déterminer quel enjeu environnemental les préoccupe le plus :

  • Jaune : réduction du bruit et de l’intensité lumineuse (pour favoriser la santé mentale et protéger les insectes),
  • Bleu : protection des milieux humides et des sources d’eau, 
  • Vert : augmentation de la couverture végétale pour réduire les ilots de chaleur.   

Les élèves de la classe de Mme Meunier ont ensuite collé sur la chaise des oiseaux et des bestioles de carton qu’ils ont bricolés, afin de rappeler l’importance de protéger tous les animaux, «même ceux qui sont moins mignons comme les vers de terre», souligne l’enseignante. Ils ont ainsi réalisé une chaise qui leur ressemble, une chaise qui portera leurs voix au conseil d’arrondissement.

Le projet de la chaise des générations est une idée du maire de Québec, Bruno Marchand, reprise par Mères au front. L’objectif est de placer une chaise au conseil d’arrondissement, laquelle représente les enfants et rappelle aux conseillères et conseillers municipaux qu’ils doivent penser aux jeunes et à l’environnement lors de la prise de décisions.

Le 3 juin dernier, Aude, Maliane et Najwa, des élèves de 5e année, ont présenté la chaise aux élues et élus lors de l’assemblée du conseil de l’arrondissement Saint-Laurent, lesquels l’ont adoptée. Le meuble assistera dorénavant à toutes les séances du conseil.

Protection régional de l'élève

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :


Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

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