Une forêt nourricière prend racine à l’école primaire Nouvelle-Querbes

Le 5 septembre dernier, l’école primaire Nouvelle-Querbes a inauguré Le petit bonheur, un jardin pédagogique sous forme de forêt nourricière, conçu et réalisé par les élèves sur un terrain situé en face de l’établissement.

Un projet collectif et éducatif

Depuis avril, un comité composé d’élèves de la première à la sixième année a travaillé à ce projet inspirant. Encadrés par leurs enseignants, Christine Bégin et Stéphane Veillette, et soutenus par le comité des parents pour le développement durable, les jeunes ont réfléchi, planifié, planté et entretenu l’espace.

Quatorze essences ornent désormais l’oasis verte, dont le rosier rugueux, l’amélanchier, le tilleul d’Amérique, le framboisier et la matricaire officinale. Les élèves ont même eu la chance de goûter aux premiers fruits de leur labeur.

Le projet s’accompagne d’un volet pédagogique important : dix ateliers animés par Le Semoir, un organisme spécialisé en éducation à l’écocitoyenneté. Ces rencontres permettront aux jeunes d’explorer le rôle des plantes, des pollinisateurs et des saisons dans les écosystèmes.

Une réponse à l’engagement des élèves

« Plusieurs enfants se disaient préoccupés par l’état de la planète, de leur ville et de leur cour d’école », explique Mélanie Charbonneau, directrice de l’école. « Ils ont souvent manifesté le désir de s’impliquer pour verdir l’école. Nous avons entendu leur appel et les avons accompagnés pour concrétiser leur vision. »

Le petit bonheur n’est pas seulement un projet scolaire : il s’ouvre également aux cadets fréquentant le centre de la petite enfance voisin, ainsi qu’à toute la communauté du quartier.

Preuve que lorsqu’une bonne idée est semée, elle finit toujours par s’épanouir.

Protecteur régional de l’élève

La personne signalante pourra choisir le mode de communication qui lui convient le mieux entre :

Les signalements sont traités de façon urgente. La confidentialité des renseignements identifiant la personne qui fait un signalement est préservée, sauf avec son consentement. Si requis par la loi, le protecteur régional de l’élève communique l’identité de cette personne au directeur de la protection de la jeunesse.

Le protecteur régional de l’élève peut aussi traiter un cas d’acte de violence à caractère sexuel de sa propre initiative.

« * » indique les champs nécessaires

Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.

Nous aimerions connaître votre opinion.

Les informations recueillies dans ce sondage sont soumises de façon anonyme.
Pour toutes questions nécessitant une réponse, ou pour postuler, nous vous invitons à communiquer avec nous en précisant votre demande.

Sur 10, quelle note donnez-vous à la qualité du site ?*